• indianil y a 5 minutes
    À la déclaration de la Première Guerre mondiale, ʿAbd-al-Bahāʾ était de retour au Proche-Orient. Dans ses messages à l’Occident, il lança un avertissement, revenant constamment sur la nécessité d’établir la fédération mondiale souhaitée par son père pour prévenir une telle guerre.
  • indianil y a 5 minutes
    Pendant la guerre, ʿAbd-al-Bahāʾ passa son temps à appliquer les principes défendus par son père et par lui-même. Par exemple, il organisa personnellement près de Tibériade un vaste projet de développement agricole qui fournit une importante récolte de blé à la région et empêcha la population de mourir de faim. Pour son action, ʿAbd-al-Bahāʾ fut nommé chevalier (Sir) par le gouvernement britannique le 27 avril 1920.
  • indianil y a 4 minutes
    Il mourut à Haïfa le 28 novembre 1921, après quarante ans d’emprisonnement, d’exil et de souffrances, et toute une vie de dévouement et de service, non sans avoir désigné comme successeur, dans la fonction de gardien de la foi baha’ie, son petit-fils Shoghi Effendi (1897-1957).

    Sa dépouille repose actuellement dans le mausolée du Bāb sur le mont Carmel à Haïfa, en attendant la construction prévue de son propre mausolée.
  • indianil y a 4 minutes
    Enfance
    ‘Abdu’l-Bahá connut une enfance privilégiée jusqu'à ce que les disciples du Báb ‒ dont Bahá’u’lláh était le plus connu ‒ soient soumis à de sévères persécutions. L'emprisonnement de Bahá’u’lláh pour le simple fait d'être bábí marqua un tournant pour sa famille. La vue de Bahá’u’lláh en prison, les cheveux et la barbe hirsutes, le cou tuméfié par le lourd carcan d’acier, le corps courbé sous le poids des chaînes, laissa une trace indélébile dans l'esprit de son fils de huit ans.
  • indianil y a 3 minutes
    En décembre 1852, Bahá’u’lláh fut relâché après avoir passé quatre mois en prison. Presque immédiatement, il fut banni d'Iran avec sa famille. Ils n'allaient plus jamais revoir leur terre natale. Pendant la longue marche vers Bagdad, ‘Abdu’l-Bahá souffrit d'engelures et fut affligé de la séparation d'avec son petit frère encore bébé, Mihdí, qui n'était pas en assez bonne santé pour entreprendre cet épuisant voyage.
  • indianil y a 3 minutes
    Leur arrivée à Bagdad fut suivie peu après d’une nouvelle et douloureuse séparation, lorsque Bahá’u’lláh se retira dans les montagnes du Kurdistan pendant deux ans. Son père bien-aimé parti, ‘Abdu’l-Bahá occupa son temps à lire et méditer sur les Écrits du Báb
  • indianil y a 2 minutes
    Service à Bahá’u’lláh
    Lorsque Bahá’u’lláh fut finalement de retour, le garçon de 12 ans fut comblé de joie. Malgré son jeune âge, ‘Abdu’l-Bahá avait déjà intuitivement reconnu le rang de son père. Les années qui suivirent, ‘Abdu’l-Bahá devint le représentant et le secrétaire de Bahá’u’lláh.
  • indianil y a 2 minutes
    Il protégea son père des perturbateurs et de la malveillance de ceux qui lui voulaient du mal, et en vint à être respecté dans des cercles au-delà des disciples de son père, conversant avec les sages et les érudits sur les sujets qui les préoccupaient. Un commentaire qu'il rédigea alors qu’il était encore adolescent démontra la connaissance et la compréhension profonde qu'il avait déjà, ainsi qu'une maîtrise frappante du langage. Tout au long de leurs exils, ‘Abdu’l-Bahá assuma également la lourde responsabilité de mener diverses négociations avec les autorités locales.
  • indianil y a 2 minutes
    Lors du dernier exil de Bahá’u’lláh à Saint-Jean-d’Acre, ‘Abdu’l-Bahá continua de protéger son père, de prendre soin de ses disciples, de veiller sur les malades et les pauvres de la ville, et de défendre ses intérêts face aux injustices de geôliers cruels, de gardes brutaux et de fonctionnaires hostiles. La générosité d'esprit de ‘Abdu’l-Bahá, son sens du service désintéressé et son attachement aux principes moraux firent qu’il parvint à se faire aimer de tous ceux qui étaient amenés à le connaître et, avec le temps, à conquérir les cœurs de ses ennemis les plus endurcis.
  • indianil y a 2 minutes
    Le centre de l'Alliance
    Dans son Plus Saint Livre, Bahá’u’lláh établit une alliance avec ses disciples, leur enjoignant de se tourner, après son décès, vers ‘Abdu’l-Bahá, qu'il décrit comme celui « qui est le Dessein de Dieu, celui qui est la Branche issue de cette antique Racine ». L'autorité de ‘Abdu’l-Bahá en tant que « centre de l'Alliance » fut également établie dans d'autres textes, notamment dans le Testament de Bahá’u’lláh.

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L’impact des cultures et du contexte
Geneviève Comeau "Les rencontres interreligieuses, qui ne sont pas toujours « dialogue » mais peuvent le devenir, sont bien souvent aussi des rencontres interculturelles. Car religion et culture entretiennent des liens étroits et complexes. Ainsi, la modernité occidentale a mis en place une manière critique de se rapporter à la religion (critique historique et littéraire des textes fondateurs, etc.), mais cette manière de faire n’est pas universellement partagée. Or, certaines rencontres interreligieuses risquent de tourner au dialogue de sourds, si l’on n’a pas conscience de cette différence, qui est en partie d’ordre culturel."

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