Absolution des Templiers
Posté : 09 avr. 2006 08:58
Note: Pour la première fois après plus de 700 ans, le Vatican a reçut un ordre qui se déclare héritier des Templiers. ll s'agit de L' ORDRE SOUVRAIN ET MILITAIRE DU TEMPLE DE JÉRUSALEM. Le Vatican fut alors informé d'une découverte documentaire très importante à travers laquelle on démontre que le Pape Clément V avait absout tous les dignitaires jugés du temple.
Maleureusement bien que le pardon avait été envoyé au château de chinon oû se trouvaient les détenus, le roi Philippe IV n'en tint pas compte et fit appliquer la sentence de mort au bûcher dictée contre Jacques de Molay et les autre chefs Templiers.
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Voici la traduction en français du deuxiéme paragraphe du document copier sur le site http://212.77.1.199/en/doc/1308.htm
Le document contient l'absolution du pape Clément V donné au Vénérable maitre du Temple, Jacques de Molay et aux autres têtes de l'Ordre, après s'être repentis et d'avoire demandés d'être pardonné par l'Eglise ; après l'abjuration formelle, qui oblige tout ceux qui ont été soupçonnés de crimes hérétiques, les membres principaux de l'Ordre Templier sont réintégrés dans La Communion catholique et réadmis pour recevoir les sacrements. Le Pape Clément V était convaincu de pouvoir garantir la survie de l'ordre militaire-religieux, rencontre le besoin apostolique d'enlever l'honte d'excommunication des frères guerrier, causés par leur reniment précédent de Jésus Christ quand il était torturé par l'Inquisiteur français. Comme plusieurs sources contemporaines le confirment, le Pape a vérifié que les Templiers ont été impliqués dans quelques formes sérieuses d'immoralité et il a planifié une réforme radicale de l'ordre par la suite pour le fusionner avec un autre ordre militaire-religieux important du nom des Hospitallers. L'Acte de Chinon, qui absout les Templiers, mais ne les décharge pas, était la supposition pour exigé d'exécuter la réforme, mais il est resté une lettre morte. La monarchie française réagie en déclenchant un vrai mécanisme de chantage, qui a exhorté alors Clément V d' atteindre le compromis ambigu ratifié pendant le Conseil de Vienne en 1312 : incapable de s'opposer au Roi de France, Phillipe IV, qui a imposé l'élimination des Templiers, le pape a enlevé l'ordre de la réalité de cette période, sans le condamner ou l'abolissant, mais l'isolant dans un genre d'hibernation, grâce à un appareil astucieux de la loi canon. Après avoir déclaré explicitement que le procès n'a pas prouvé la charge d'hérésie, Clément V a suspendu l'Ordre du Temple au moyen d'une loi canonique qui enpéchait une suprésion définitive. Cette démarche du Pape était imposée par la nécessité d' éviter un danger sérieux à l'Eglise qui interdisait, sous peine de l'excommunication, l'utilisation de leur nom ou de leurs symboles distinctifs.
[img]http://212.77.1.199/immagini/doc/A.A.,Arm.D,217.jpg[/img]
Maleureusement bien que le pardon avait été envoyé au château de chinon oû se trouvaient les détenus, le roi Philippe IV n'en tint pas compte et fit appliquer la sentence de mort au bûcher dictée contre Jacques de Molay et les autre chefs Templiers.
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Voici la traduction en français du deuxiéme paragraphe du document copier sur le site http://212.77.1.199/en/doc/1308.htm
Le document contient l'absolution du pape Clément V donné au Vénérable maitre du Temple, Jacques de Molay et aux autres têtes de l'Ordre, après s'être repentis et d'avoire demandés d'être pardonné par l'Eglise ; après l'abjuration formelle, qui oblige tout ceux qui ont été soupçonnés de crimes hérétiques, les membres principaux de l'Ordre Templier sont réintégrés dans La Communion catholique et réadmis pour recevoir les sacrements. Le Pape Clément V était convaincu de pouvoir garantir la survie de l'ordre militaire-religieux, rencontre le besoin apostolique d'enlever l'honte d'excommunication des frères guerrier, causés par leur reniment précédent de Jésus Christ quand il était torturé par l'Inquisiteur français. Comme plusieurs sources contemporaines le confirment, le Pape a vérifié que les Templiers ont été impliqués dans quelques formes sérieuses d'immoralité et il a planifié une réforme radicale de l'ordre par la suite pour le fusionner avec un autre ordre militaire-religieux important du nom des Hospitallers. L'Acte de Chinon, qui absout les Templiers, mais ne les décharge pas, était la supposition pour exigé d'exécuter la réforme, mais il est resté une lettre morte. La monarchie française réagie en déclenchant un vrai mécanisme de chantage, qui a exhorté alors Clément V d' atteindre le compromis ambigu ratifié pendant le Conseil de Vienne en 1312 : incapable de s'opposer au Roi de France, Phillipe IV, qui a imposé l'élimination des Templiers, le pape a enlevé l'ordre de la réalité de cette période, sans le condamner ou l'abolissant, mais l'isolant dans un genre d'hibernation, grâce à un appareil astucieux de la loi canon. Après avoir déclaré explicitement que le procès n'a pas prouvé la charge d'hérésie, Clément V a suspendu l'Ordre du Temple au moyen d'une loi canonique qui enpéchait une suprésion définitive. Cette démarche du Pape était imposée par la nécessité d' éviter un danger sérieux à l'Eglise qui interdisait, sous peine de l'excommunication, l'utilisation de leur nom ou de leurs symboles distinctifs.
[img]http://212.77.1.199/immagini/doc/A.A.,Arm.D,217.jpg[/img]